Avec ses yeux jaunes tachés de brun on pourrait prendre cette petite mouche trapue à grosse tête pour un Taon mais la nervation alaire d'Eristalinus sepulchralis, l'Eristale
sépulcrale, ne trompe pas, c'est un Syrphe, elle ne pique pas.
Le thorax d'Eristalinus sepulchralis est marqué de bandes longitudinales plus grises, on distingue chez les femelles des petites lignes transversales absentes chez E. aeneus, espèce très proche. Les tibias 2 sont orange sur leur moitié basale, brun noir sur la moitié apicale.
Taille : 8- 11 mm
Les larves de l'Eristale
sépulcrale vivent dans les eaux stagnantes boueuses, les lisiers... |
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© Catherine Baral |