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Le journal du jardin : Octobre 2009

Des fleurs et des insectes au fil des jours : un  clic sur la vignette  agrandit l'image et/ou un clic sur un lien dirige vers une page associée. Dans ce cas utilisez le bouton "retour" de votre navigateur pour revenir ici.
Tégénaire 4 Cette grande Tégénaire (Tegenaria campestris) a tendu sa toile en nappe dans la cuve qui abrite la citerne de gaz. Une partie de sa vie est inscrite sur cette toile où sont accrochées plusieurs exuvies et quelques restes de repas.
Copris lunaris 5 Promenade à la fraîche pour cette femelle Copris lunaris qui très rapidement s'enfonce dans la mousse et disparaît sous terre.
Jeune couleuvre 6 Ce n'était pas le boa du Petit Prince mais, lorsqu'elle s'est déroulée, j'ai vu au subit renflement de son corps que cette jeune Couleuvre d'Esculape avait bien déjeuné.
Jeune grillon 8 Les grillons du jardin ont beau être des Grillons champêtres et non des Grillons domestiques, dès les premières nuits fraîches les jeunes cherchent tous à rentrer dans la maison
Ichneumon 10 Un bel Ichneumon, à qui il sera impossible de donner un nom autre que de famille, parcourait les Stipas à la recherche d'une proie.
Cône de pin 11 Un peu d'humidité et, entre les aiguilles de pin, un premier champignon surgit à côté d'un cône déchiqueté par un Ecureuil.
Ecureuils 20

La grande mangeoire, conçue pour être suspendue, permet d'accéder aux graines de deux côtés. L'espace entre le tronc et la vitre forme une cachette où un Ecureuil peut s'installer pour déjeuner tranquille mais aujourd'hui, surprise, la place est déjà prise. Cherchez le premier occupant.

Aeshna cyana, Aeschne bleue 21 Tout d'abord je n'ai vu qu'une tête dépasser des feuilles, puis curieusement 4 paires d'ailes. Je me suis reculée pour contourner la branche et essayer de photographier ce couple d'Aeschnes bleues (Aeshna cyana). En haut le mâle maintenant la femelle grâce à ses cercoïdes en forme de pinces.
Entre les gouttes 25 Me penchant sur les gouttes de pluie retenues par les feuilles de Liriodendron tulipifera je découvre, presque invisible, un tout petit promeneur. Agrandissez la vignette puis retrouvez-le ici.
© Catherine Baral