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Le journal du jardin : janvier/février/mars 2013 |
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5 | Janvier Journées de bêchage et repiquage. Dans la glaise, au pied des Stipas qu'il faut dédoubler, de nombreuses chenilles d'Hépiales (Hepialidae sp). |
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7 | Le chat noir qui squatte le jardin s'est fait un lit au cœur d'une grosse touffe de Carex comans "Bronze" qui l'isole de la terre humide. |
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16 | Une image offerte à tous ceux qui croient que la terre des taupinières est idéale pour leurs pots de fleurs. Les sites de jardinage apparemment les plus sérieux continuent à entretenir cette légende mais les Taupes ne déplacent que la terre qu'elles trouvent, légère ou collante, acide ou calcaire... Celles du jardin l'aèrent et remontent de nombreux cailloux et petites pierres. |
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18 | Dès que Pic épeiche et Ecureuils laissent la place les passereaux sont nombreux à attendre leur tour de chiper une graine de tournesol ; même le Rouge-gorge, qui généralement reste au pied du Chêne, n'hésite pas à s'accrocher au tronc pour s'approcher. |
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22 | Les Hellébores blanches sont trop maculées de boue pour être photographiées, quant à celles-ci elles sont dévorées par les limaces. |
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2 | Février Le spectacle des mangeoires est une fois de plus la seule chose qui retienne l'attention. Le Pic épeiche coince chaque graine de tournesol dans la même anfractuosité de l'écorce du Chêne avant de la fendre d'un coup de bec. Les Mésanges bleues préfèrent les emporter et s'installer sur une branche. |
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14 | La présence d'un Ecureuil ne gène pas les Mésanges charbonnières qui se faufilent derrière la mangeoire pour se servir. Parfois la place est occupée par un autre diable roux et elles doivent patienter. |
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7 | Mars Hormis les habituels Narcisses 'Jet Fire' très précoces, les Primevères ou les premières Violettes, toujours rien à photographier au jardin. |
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20 | À peine le temps de se ressaisir et ce Carabe dérangé court se réfugier à l'ombre d'une motte de terre. |
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23 | Belle surprise aujourd'hui, une femelle Meloe. Pendant quelques semaines je vais pouvoir observer ces magnifiques insectes. Meloe violaceus et M. proscarabaeus vont s'accoupler, les femelles vont arpenter l'herbe à la recherche des nids d'Abeilles solitaires puis pondre à proximité. Si vous n'avez jamais assisté à ce spectacle quelques images ici. |
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30 | Trente, quarante, cinquante... Le froid revenu les oiseaux se bousculent aux mangeoires autour desquelles il y a de fréquentes disputes. Les écureuils ont grignoté le bois de la plus grande et l'ont même décrochée un jour où il n'y restait plus que quelques graines difficiles à attraper. |
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| © Catherine Baral | ||